22 mars 2016. Attentats de Bruxelles. Trente-deux morts, des centaines de blessés. L’enquête officielle boucle rapidement le dossier : cellule terroriste de Daech, radicalisation dans les quartiers populaires à forte immigration, barbarie aveugle d’illuminés. Mais pour Saint Val, quelque chose ne colle pas dans la version officielle.

L’espion de l’ASPIC remonte une piste que personne n’a voulu explorer, découvrant une vérité bien plus dérangeante que le discours convenu sur le terrorisme islamiste.

Quatre ans avant les explosions de Zaventem et Maelbeek, des signaux faibles parviennent déjà aux oreilles du Kremlin. Dans les ruines d’Alep, de nouveaux visages apparaissent parmi les cadres de l’État islamique naissant. Qui sont ces hommes ? Qui les finance ? Qui tire les ficelles dans l’ombre ?

Une unité d’élite russe des Spetsnaz est discrètement dépêchée sur place pour élucider ces questions troublantes. Ce qu’ils découvrent les mène sur une piste explosive qui traverse frontières, services secrets et intérêts géopolitiques majeurs.

Car derrière le chaos apparent du conflit syrien se dessine déjà le plan qui culminera quatre ans plus tard dans les couloirs du métro bruxellois.

Dans Opération Guayota, Alexandre HOS explore une hypothèse que les enquêtes officielles n’ont jamais osé formuler : et si les attentats de Bruxelles n’étaient pas exactement ce qu’ils paraissent ? Et si derrière la façade terroriste se cachaient d’autres intérêts, d’autres commanditaires, d’autres objectifs ?

Le roman révèle les mécaniques des opérations sous faux pavillon, ces manipulations où l’on fait endosser à d’autres la responsabilité d’actes que l’on a soi-même orchestrés. Une technique vieille comme l’espionnage, mais adaptée aux réalités géopolitiques du XXIe siècle.

Sans nier la réalité des faits ni minimiser la souffrance des victimes, ce thriller propose une lecture alternative des événements, révélant les dessous inavouables d’une tragédie qui a marqué l’Europe entière.

Au cœur de cette intrigue complexe, un moteur universel : la vengeance. Elle traverse tous les camps, tous les intérêts, causant des ravages à travers ses multiples visages. Car derrière les grands mouvements géopolitiques se cachent souvent des rancœurs personnelles, des comptes à régler, des humiliations à laver.