Une pandémie calculée ?

La véritable guerre des masques

Janvier 2020. Un virus inconnu émerge en Chine. Pendant que l’Europe dort encore, une course souterraine s’engage déjà. Alors que l’agent pathogène frappe aux portes du continent européen, les gouvernements découvrent avec effroi que leurs stocks stratégiques sont dramatiquement vides.
Course effrénée aux quatre coins de l’Asie, opérations secrètes des services de renseignement, trafics internationaux orchestrés dans l’ombre : derrière la pénurie de masques se cache une guerre économique et géopolitique que personne ne veut revendiquer. Car quand la survie des populations est en jeu, tous les coups sont permis.

Des signaux qui ne trompent pas

Un jeune hacker sauvagement assassiné dans la banlieue de Reims. Deux banquiers cisjordaniens qui se lancent opportunément dans la fabrication de masques chirurgicaux. Des centaines de millions de masques qui disparaissent mystérieusement d’entrepôts asiatiques sous contrôle de la CIA. Des marchés publics européens attribués à de nouvelles sociétés derrière lesquelles se cachent des actionnaires sulfureux.
Ces événements épars sont-ils le fruit du hasard ou d’une orchestration minutieuse ? Pour Saint Val, la réponse ne fait aucun doute : quelqu’un tire les ficelles de cette tragédie annoncée.

L’incompétence comme écran de fumée

Pendant que les dirigeants européens naviguent à vue, minimisant d’abord l’utilité des masques pour masquer leur impréparation catastrophique, une mécanique implacable se met en place. France, Belgique, Italie : partout le même scénario de négation puis de panique.
Mais derrière cette apparente incompétence généralisée, Saint Val découvre une manipulation à grande échelle.

Le MECH à la manœuvre

L’organisation criminelle tentaculaire ne pouvait laisser passer une telle aubaine. Pendant que l’Occident s’enlise dans ses contradictions et ses mensonges d’État, le MECH organise méthodiquement la pénurie pour transformer la détresse humaine en profits mirobolants.
Leurs méthodes sont rodées : créer le chaos, contrôler les flux, manipuler les décideurs fragilisés. Une stratégie qui révèle à quel point les démocraties sont devenues perméables aux influences criminelles organisées.

Dans les coulisses du pouvoir

De la Ferme d’où opèrent les Vipères de l’ASPIC jusqu’aux couloirs de l’Élysée, en passant par les bureaux feutrés de banques luxembourgeoises, les tours de Bruxelles et les entrepôts du Vietnam, Saint Val va remonter une filière tentaculaire qui révèle les dessous inavouables de la gestion de crise.
Car la vraie question n’est pas de savoir si nos dirigeants sont incompétents – ils le sont – mais de comprendre les véritables enjeux derrière ces manipulations de masse.

La vérité sur la réindustrialisation

Le Bal des Masques pose une question cruciale : comment l’Europe est-elle devenue aussi dépendante de l’Asie pour les plus simples appareils de protection que sont les masques sanitaires ? Derrière cette dépendance stratégique se cachent des décennies de désindustrialisation orchestrée et de naïveté géopolitique.
Le roman explore cette hypothèse dérangeante : et si la pénurie de masques n’était pas accidentelle ? Et si derrière les cafouillages gouvernementaux se cachait une stratégie délibérée de fragilisation de nos systèmes de défense sanitaire ? Nageons-nous en pleine guerre asymétrique, ce concept si cher à Sun Tzu ?

Première incursion internationale

Le Bal des Masques marque une étape importante dans la série Saint Val : c’est le premier roman traduit en anglais sous le titre « Masks at War ». Cette version anglophone ouvre les portes du marché international aux aventures de l’agent tricolore, révélant que les manipulations géopolitiques n’ont pas de frontières linguistiques.
Un thriller qui révèle comment nos démocraties affaiblies sont devenues le terrain de jeu d’organisations criminelles sans scrupules.
Quand la santé publique devient un business et que la survie des peuples se négocie en Bourse, qui tire vraiment les ficelles ?


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