Questions fréquentes

Ce que vous voulez savoir sur Alexandre HOS et ses romans

Sur l’authenticité des romans

Vos romans sont-ils vrais ?

Mes romans sont des fictions basées sur des faits réels. Je pars toujours d’événements authentiques – Tueries du Brabant, génocide rwandais, attentats de Bruxelles – pour proposer des explications alternatives plausibles là où les enquêtes officielles s’enlisent.

D’où viennent vos informations ?

De sources multiples : documentation approfondie, contacts privilégiés dans certains milieux, analyse des incohérences des versions officielles, et mon expérience professionnelle dans les domaines sensibles. Je connecte des points que d’autres préfèrent ignorer.

Pourquoi écrire des « vérités alternatives » ?

Parce que souvent, la fiction est le seul moyen de dire certaines vérités. Les contraintes judiciaires, diplomatiques ou politiques empêchent les médias et les institutions de formuler certaines hypothèses. Le roman permet cette liberté.

Sur la méthode de travail

Comment distinguez-vous le « possible » du « plausible » ?

Le possible relève de l’imagination pure. Le plausible s’appuie sur des éléments factuels : documents, témoignages, analyses géopolitiques. Mes romans reconstituent des scénarios cohérents à partir d’indices réels.

Vos sources sont-elles fiables ?

Je croise toujours plusieurs sources et privilégie les témoins directs. Mon passé et mon autre activité professionnelle me donnent accès à certains milieux qui confirment ou infirment mes hypothèses. Mais je reste prudent : mes romans restent de la fiction, je le revendique et j’en suis fier.

Pourquoi certains détails semblent-ils si précis ?

Parce qu’ils le sont. Je ne brode jamais sur les faits établis. Seules mes hypothèses explicatives relèvent de la fiction. Cette méthode donne à mes romans leur troublante crédibilité.

Sur les sujets traités

Pourquoi ces affaires précisément ?

Je choisis des événements non élucidés qui continuent d’interroger. Tueries du Brabant, secrets enfouis à Tchernobyl, dessous des attentats islamistes de Bruxelles et de Paris : autant de mystères où la version officielle laisse des zones d’ombre béantes.

N’avez-vous pas peur des poursuites judiciaires ?

Mes romans sont clairement présentés comme des fictions. Je ne porte aucune accusation directe contre des personnes identifiées. Je propose des hypothèses alternatives dans un cadre romanesque protégé par la liberté de création. Quant à mes personnages, ils ont une totale liberté tant qu’elle sert l’histoire, l’intrigue.

Vos romans peuvent-ils influencer la justice ?

Ce n’est pas leur vocation. Ils visent à maintenir vivantes des questions que l’actualité a enterrées. Si mes hypothèses incitent certains à rouvrir des dossiers, tant mieux pour la vérité.

Sur le concept de « vérités alternatives »

Qu’entendez-vous par « vérités alternatives » ? N’est-ce pas du complotisme ?

Les vérités alternatives ne nient pas les faits, elles en proposent des explications différentes. Le complotisme invente, moi je révèle. Je pars toujours d’éléments factuels pour construire des hypothèses cohérentes là où les versions officielles présentent des incohérences flagrantes.

Comment distinguer vérité alternative et théorie du complot ?

La vérité alternative s’appuie sur des preuves, se soumet au principe de réfutabilité et accepte la nuance. La théorie du complot rejette toute contradiction et explique tout par un plan secret global. Mes romans explorent des zones grises, pas des certitudes absolues.

Pourquoi les médias ne posent-ils pas ces questions ?

Par autocensure, contraintes économiques, ou paresse intellectuelle. Les journalistes sont souvent prisonniers des sources officielles et craignent d’être taxés de complotisme. Le romancier a cette liberté de formuler des hypothèses dérangeantes.

Sur le contexte géopolitique

Vos romans reflètent-ils une époque particulière ?

Nous vivons l’âge de la désinformation institutionnelle. Réseaux sociaux, fake news, manipulation de l’opinion : la frontière entre vérité et mensonge s’estompe. Mes romans révèlent que cette confusion arrange souvent les vrais responsables.

Votre vision du monde est-elle pessimiste ?

Réaliste plutôt que pessimiste. Je montre comment les intérêts géopolitiques et économiques instrumentalisent les tragédies humaines. Mais révéler ces mécanismes, c’est déjà un acte d’espoir : la vérité peut encore triompher.

Les démocraties occidentales sont-elles si manipulatrices que ça ?

Toutes les puissances jouent ce jeu, pas seulement l’Occident. Mais nos démocraties ont développé des techniques sophistiquées de manipulation de l’opinion qui rendent leurs actions moins visibles. C’est cette hypocrisie que je dénonce, même si je la comprends.

Sur l’impact littéraire et social

Vos lecteurs vous croient-ils vraiment ?

Mes lecteurs ne me « croient » pas, ils réfléchissent. Mes romans ne sont pas des dogmes mais des hypothèses de travail. Ils poussent à questionner les versions officielles, ce qui est déjà un pas vers l’esprit critique.

Quel rôle pour l’écrivain dans notre société ?

L’écrivain doit être un révélateur, pas un consolateur. Dans une époque de désinformation généralisée, sa mission est de maintenir vivantes les questions dérangeantes que les institutions préfèrent enterrer. En marge du divertissement et de l’évasion qu’il apporte au lecteur, bien entendu.

Vos romans peuvent-ils changer quelque chose ?

Un seul lecteur qui remet en question une vérité officielle, c’est déjà une victoire. La littérature agit par capillarité : elle plante des graines de doute qui peuvent germer des années plus tard.

Comment voyez-vous l’évolution du roman d’espionnage ?

Le genre doit s’adapter à notre époque. Fini les gadgets et les super-espions : aujourd’hui, la vraie guerre se joue dans l’information, la manipulation des données, les réseaux d’influence. L’espionnage moderne, c’est contrôler le récit dominant.

Sur l’auteur

Qui êtes-vous vraiment ?

Un observateur qui analyse les failles du système depuis l’intérieur. Ma double expertise – technique et littéraire – me permet de décrypter ce que d’autres ne voient pas. Le reste appartient à ma vie privée.

Pourquoi publier en indépendant ?

Pour garder ma liberté totale sur les sujets traités. L’édition traditionnelle aurait censuré certains de mes romans jugés trop dérangeants. L’autopublication me permet de dire ce que je veux.

Préparez-vous d’autres révélations ?

Chaque mois, j’analyse l’actualité sous l’angle des « vérités alternatives ». Les sujets ne manquent pas : notre époque regorge d’affaires non résolues et de mystères officiels.

Sur l’avenir

Comptez-vous révéler votre véritable identité ?

Peut-être un jour, quand certaines contraintes professionnelles auront disparu. Pour l’instant, l’anonymat relatif me protège et protège mes sources. Il me permet aussi de me concentrer sur l’essentiel : les révélations. Mais tout bon stalker est capable de me retrouver… le prénom reste le même.

Vos prochains romans seront-ils plus dérangeants encore ?

L’actualité me fournit malheureusement une matière inépuisable. Chaque crise révèle de nouveaux dysfonctionnements, chaque affaire non résolue appelle une hypothèse alternative. Le plus dérangeant reste à venir.