Né en 1973 en Belgique, de père français et de mère belge, Alexandre a grandi avec la fin des mythes liés à la guerre froide et avec l’ascension fulgurante des technologies de l’information dans notre quotidien. Très jeune, les métiers de l’espionnage et de la sécurité le passionnent. C’est à l’ombre des pommiers du verger grand-parental qu’il dévore les œuvres de Ian Fleming, de Frederick Forsyth, de Robert Ludlum ou encore de Graham Greene et autres Rudyard Kipling (et son formidable Kim) et même Paul-Loup Sulitzer (eh oui, eh oui…). Mais c’est planqué sous la couette, à la lumière d’une lampe de poche, prenant tous les risques face aux curés traqueurs de lectures subversives, qu’il découvre celui qui, définitivement, lui donnera l’envie d’écrire : Gérard de Villiers et ses fabuleux SAS. Plus tard, la découverte des romans de John Le Carré viendra sceller la certitude qu’un jour il écrira des romans d’espionnage, lui aussi.
Après des études classiques et une tournée mystique au Proche-Orient, il est temps de travailler. Cela tombe bien, Internet se démocratise et devient le secteur vers lequel lorgnent ses petits camarades de jeux. Alexandre, féru depuis toujours de technologies – il aime à dire que son premier ordinateur, un Dragon32, a été son premier meilleur ami numérique – fait un pari plus précis : son créneau sera la sécurité des systèmes d’information.
Ainsi commence une carrière de spécialiste en tests d’intrusion, en prévention des risques et en gouvernance. Alexandre a conseillé de nombreuses entreprises, a travaillé dans des domaines sensibles et a murmuré à l’oreille de grands dirigeants politiques et économiques. Sa proximité avec certaines agences spécialisées dans les matières de la sécurité l’a amené à côtoyer de nombreux hommes de l’ombre. Cela étant, lorsqu’on lui pose certaines questions à ce sujet, il botte en touche : tout ça est encore trop frais, répond-t-il.
En 2014, l’envie d’écrire est trop forte pour la remiser sans cesse à plus tard. Alexandre L. devient Alexandre Hos, un auteur proche de son lectorat et de la réalité. Il aime à dire qu’il écrit du roman à clé, comprenez non pas des choses possibles, mais plausibles.
En 2016, sort son premier roman Opération BrabanCIA qu’il définit comme un espiolar : un roman d’espionnage, sauce polar. Depuis, ce sont une dizaine de romans sont venus asseoir sa notoriété.
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